Rencontre anonyme [PV: Jennifer St-James]

- Je crois que vous vous méprenez. Vous n'êtes intervenue en rien dans mon départ du Vol Bleu, je le quitte pour pouvoir revendiquer un territoire comme mien. Ensuite, il est vrai que les lycans ne seront jamais une menace bien sérieuse pour moi, mais il y a sur le territoire que je revendique des humains et des vampires auxquels j'ai apporté mon soutien dans la défense de ce territoire. C'est un peu une zone de cohabitation. je veux seulement avoir à faire couler le moins de sang possible pour la défendre. Surtout si le sang provient d'amis à mes amis. J'ai tué plus d'être que vous n'en connaitrez jamais, car j'ai participé aux première, deuxième et troisième Croisades, j'ai ensuite tué différentes créatures mythologiques sous ma forme humaine pour devenir plus fort, et j'ai finalement tué un dragon et participé aux Première et Seconde Guerres mondiale. Croyez moi, je pense avoir suffisamment tué et suis las de devoir le faire. Si je peux éviter une altercation avec des lycans, s'est toujours cela de gagner. N'êtes vous pas d'accord?

-Je suis en effet tout à fait d'accord avec vous Darmentis, mais je tenais quand même faire mes excuses, car j'ai l'impression que de m'avoir sous votre protection n'aide en rien votre cause auprès des autres Dragons...

- Les lois draconiennes proclament que toute personne connaissant l'existence des dragons doit être éliminée à moins qu'elle ne soit parrainée par un dragon. Lors de cette lois, ils n'ont pas précisé combien de personnes pouvaient être protégées ainsi. A l'origine, cette lois fut proposée par un dragon qui était amoureux d'une humaine. Là où la plupart des dragons tuent leur partenaires après qu'ils les aient aidé à enfanter, celui là était réellement amoureux de son humaine. Il avait de nombreux allier, ainsi sa cause fut retenue puis acceptée. De cette union sont né des jumeaux, un fait unique dans toute notre histoire. Hélas, lorsque sa femme vint a mourir, le dragon mit fin à ses jours, laissant ses deux fils aux soins de Saphiron. Ce sont les jeunes gens que vous avez vu toute à l'heure, Sejanus et Tybalt Whitewolf. Pour en revenir à notre histoire, le fait que je protège une personne de plus ou de moins ne change rien à leurs yeux. Je revendique un territoire pour en protéger de nombreuses autres, vous n'êtes donc pas la première à qui j'offre ma protection.

- Les lois draconiennes proclament que toute personne connaissant l'existence des dragons doit être éliminée à moins qu'elle ne soit parrainée par un dragon. Lors de cette lois, ils n'ont pas précisé combien de personnes pouvaient être protégées ainsi. A l'origine, cette lois fut proposée par un dragon qui était amoureux d'une humaine. Là où la plupart des dragons tuent leur partenaires après qu'ils les aient aidé à enfanter, celui là était réellement amoureux de son humaine. Il avait de nombreux allier, ainsi sa cause fut retenue puis acceptée. De cette union sont né des jumeaux, un fait unique dans toute notre histoire. Hélas, lorsque sa femme vint a mourir, le dragon mit fin à ses jours, laissant ses deux fils aux soins de Saphiron. Ce sont les jeunes gens que vous avez vu toute à l'heure, Sejanus et Tybalt Whitewolf. Pour en revenir à notre histoire, le fait que je protège une personne de plus ou de moins ne change rien à leurs yeux. Je revendique un territoire pour en protéger de nombreuses autres, vous n'êtes donc pas la première à qui j'offre ma protection.

-Ah je vois. Mais vous Darmentis, n'avez-vous personne avec vous, une femme que vous aimez ?

-Ah je vois. Mais vous Darmentis, n'avez-vous personne avec vous, une femme que vous aimez ?
"Une femme que vous aimez" Cette parole se mit à résonner dans la tête de Darmentis, le faisant revivre des évènements anciens.

Citation :: "Une chance de rejoindre les rangs du Vol Noir! Moins d'un dixième de notre espèce a les qualités requises pour y être invitée. Et nous le sommes tous les deux."
"Biara, je ne les rejoindrai pas. Je ne sais que trop bien se qu'il font. Si tu t'étais plus investi dans les enseignement de Saphiron, tu saurais qu'ils ne cherches que le pouvoir, qu'il soit terrestre ou spirituel. Je ne veux pas être un point à leurs bottes." Répliqua Darmentis dans un Allemand accentué.
"Ils ne nous utiliseront pas. Ils nous veulent pour nos capacités, pour nos talents!"
"Ils ne nous veulent par pour se que nous sommes, mais pour se que nous sommes capables de faire! Je ne les rejoindrai pas Biara, et je te prie d'en faire autant. La servitude est-elle préférable à la liberté si elle apporte quelconque titre?"
"Reste ici avec moi ou part seul, c'est ton choix, Dar." Conclu Biara
Ces mots avaient ouvert une plaie dans le cœur de Darmentis. Il s'était retourné lentement, une larme dégoulinant sur sa joue, et était parti, abandonnant son aimée à la vie de servitude qu'elle s'était choisie. *Elle ne pourras jamais les quitter. Ils la tueront si elle essai. Je suis désolé de ne pas l'en avoir avertie.* Avait marmonnée la voix de Saphiron dans la tête de Darmentis.
"Elle a fait son choix."
***
"- Je n’en veux plus, ni te ton collier ni de ton amour. S’exclama la familière voix de celle qui avait le plus comptée pour lui durant 200 ans.
- Je t’ai perdu lorsque tu a franchi les portes de Düsseldorf pour te joindre au Vol Noir. Et je suppose que tu n’es pas là pour te réconcilier avec moi Biara. Rétorqua sèchement Darmentis.
- Tu as tué mon amant. J’ai mit du temps à accepter que tu ne m’ais pas suivit dans le Vol Noir, et il m’a aidé tous se temps. Alors, il t’a remplacé. Ce collier seul me rappelait ton existence, et je te le rends maintenant, car elle touche à sa fin. Ta grande sœur t’as révélé pourquoi on nous avait proposer de faire parti du clan n’es-ce pas ? Je l’ai tuée pour savoir ou tu étais. Et maintenant, c’est ton tour.
- Tu viens faire d’une pierre deux coups ? Ta vengeance et une promotion. Tu as tellement changée, je peine à te reconnaitre. Mais puisque tel est ton souhait, ainsi soit-il."
***
Leur duel ébranla les fondation même de la grotte, et lorsque Darmentis s’eut enfin saisit de la gorge de son adversaire et qu’il eut maintenu sa mâchoire fermée assez longtemps pour que Biara suffoque et décède, le tombeau avait déjà commencé à s’effondrer. Darmentis du reprendre forme humaine pour s’échapper, les passages devenant trop étroits pour son corps de dragon. Après un bref coup d’œil dans celui de celle qu’il avait aimée, Darmentis parti.

Darmentis s'était mit à trembler, lutant pour conserver forme humaine. Sa rage était si grande qu'elle menaçait de révéler au monde l'existence des dragons. S'il se transformait ici, s'en était fini. Sur son visage était gravé un masque de colère, et bien qu'il eut les yeux fermés, les pupilles reptiliennes semblaient visibles. Il inspira profondément de manière à se calmer, puis se tourna vers Jennifer, une larme perlant sur sa joue.
- Je l'ai tuée. Murmura t-il.

Il me dit simplement;
- Je l'ai tuée.
J'étais scotchée sur place, impossible de bouger ! Il avait tué la seule personne n'ayant jamais compté pour lui si j'avais bien compris.
-Ohh... Darmentis, je suis vraiment désolée.
J'étais très mal à l'aise.
-J'imgaine que vous ne voulez pas en parler alors changeons de sujet. Combien de temps nous reste-t-il ?
Le malaise que cette déclaration avait créé en moi parraissait tellement dans ma voix...

Darmentis se tenait la tête, les images ayant écorchées son esprit. Jennifer voulut changer de conversation, préférant parler du temps qu'il leur restait à discuter. Cette proposition semblait bien piètre, mais elle témoignait de la gentillesse de Jennifer. Celle-ci préférait parler de choses futile plutôt que de chose désagréables. Cependant, Darmentis avait complètement perdu la notion du temps lors de sa vision, et était bien incapable de répondre.
- Vous n'avez pas à être désolée, vous n'étiez pas née lorsque cela s'est produit. Quand a changer de sujet, j'en suis désolé mais j'ai un peu perdu la notion du temps. La douleur mentale ne s'efface pas avec le temps, elle disparait avec la mort. Peut-être que l'éternité me permettra d'oublier Biara, toujours est-il que d'en parler ou pas, la douleur persiste.
Il s'était assis par terre, respirant calmement.
- La vie ? Le voyage vaut la peine d'être fait une fois. Récita t-il en souvenir d'un de ses vieux ami.

- Vous n'avez pas à être désolée, vous n'étiez pas née lorsque cela s'est produit. Quand a changer de sujet, j'en suis désolé mais j'ai un peu perdu la notion du temps. La douleur mentale ne s'efface pas avec le temps, elle disparait avec la mort. Peut-être que l'éternité me permettra d'oublier Biara, toujours est-il que d'en parler ou pas, la douleur persiste.
Il avait l'air détruit ! *J'avais le don de parler de truc qui fesait du mal aux autres, moi ! *
- La vie ? Le voyage vaut la peine d'être fait une fois.
Je ne savais plus du tout quoi dire. Pourquoi étais-je embarquée dans ce sujet déjà ? * Quelle idiote je fais parfois ! * Rajai-je contre moi-même.
-Est-ce que je peux vous aider en quelque chose Darmentis ? Je peux toujurs m'en aller si vous préfèrez...

- Pourquoi vouloir partir? Fuir la difficulté n'est pas une bonne chose. Pour citer le même amis qu'à l'instant: On ne devrait jamais tourner le dos à un danger pour tenter de le fuir. Si vous le faites, vous le multiplierez par deux. Mais si vous l'affrontez rapidement et sans vous dérober, vous le réduirez de moitié. Je n'applique pas cela qu'au danger. Libre à vous de faire comme vous le souhaitez.
Il ferma les yeux, laissant ses autres sens l'avertir du départ possible de la lycan. Les images défilaient par fragments sous ses paupières. Sa respiration calme ne trahissait pas le tumulte de son esprit. *Une âme condamnée à errer sur les mondes...* Murmura sa voix dans sa tête, même s'il ne se souvenait pas avoir eut la volonté de dire cela. Comme Jennifer ne semblait pas se décider à partir, il reprit la conversation.
- J'ai tué des milliers d'hommes, que se soit aux cours des croisades ou des récentes Guerre mondiale, mais je ne les connaissait pas. Certain essayeront de moraliser se qu'ils font, il est vrai que l'on tue le plus souvent pour ce que l'on croit juste, pour les valeur que l'on défend. S'est dans cette idée que j'ai tuée celle que j'aimais. On nous avait promit à un grand avenir, il y avait bien longtemps que deux dragons ne s'étaient pas aimé comme nous. Elle à cependant choisie de rejoindre le Vol Noir, l'un des trois clan de dragon. Si j'avais su qu'ils la retourneraient contre moi et l'enverraient me tuer, jamais je ne l'aurait laissé partir. Je suis l'un des rares dragons vivant à avoir jamais tué l'un des siens, et dans mon cas, il s'agit de deux.
Il transmit mentalement à Jennifer les images successives de Drakhaut, un dragon noir au proportion proprement démesurée, puis, celle d'une dragonne rouge. Il expliqua ensuite: *Les Dragons peuvent communiquer par télépathie.*

- Pourquoi vouloir partir? Fuir la difficulté n'est pas une bonne chose. Pour citer le même amis qu'à l'instant: On ne devrait jamais tourner le dos à un danger pour tenter de le fuir. Si vous le faites, vous le multiplierez par deux. Mais si vous l'affrontez rapidement et sans vous dérober, vous le réduirez de moitié. Je n'applique pas cela qu'au danger. Libre à vous de faire comme vous le souhaitez.
Je croyais qu'il n'avait pas saisi ce que je voulais dire par partir, mais ça m'aurait étonnée alors... Il reprit;
- J'ai tué des milliers d'hommes, que se soit aux cours des croisades ou des récentes Guerre mondiale, mais je ne les connaissait pas. Certain essayeront de moraliser se qu'ils font, il est vrai que l'on tue le plus souvent pour ce que l'on croit juste, pour les valeur que l'on défend. S'est dans cette idée que j'ai tuée celle que j'aimais. On nous avait promit à un grand avenir, il y avait bien longtemps que deux dragons ne s'étaient pas aimé comme nous. Elle à cependant choisie de rejoindre le Vol Noir, l'un des trois clan de dragon. Si j'avais su qu'ils la retourneraient contre moi et l'enverraient me tuer, jamais je ne l'aurait laissé partir. Je suis l'un des rares dragons vivant à avoir jamais tué l'un des siens, et dans mon cas, il s'agit de deux.
ALors, il referma les yeux et je vis des images dans ma tête. C'était quelque chose que je n'avais jamais vue. Je laissai les images défiler et soudain, j'entendis la voix de Darmentis résonner dans ma tête;
* Les Dragons peuvent communiquer par télépathie.*
Je devais avoir eu l'air incrédule et très surprise sans m'en rendre compte pour qu'il m'explique.
-Qui étaient ces Dragons que vous venez de me faire voir ? Et arrivez-vous à entendre mes pensées aussi ?

- Non, je n'arrive pas à entendre les pensées, seulement à transmettre les miennes. Quant aux deux dragons, il s'agissait de Drakhaut du Vol Noir, le premier dragon dont j'ai pris la vie, et de Biara, celle qui fut ma compagne pendant 200 ans et à qui mon cœur appartenait.
Il se releva lentement, puis dévisagea le soleil. Ses yeux lui permettaient de regarder le soleil directement sans être éblouit, il parvint ainsi à deviner approximativement l'heure qu'il était.
Il doit nous rester environ deux heures... Conclu t-il à l'attention de Jennifer. Allons nous dégourdir les jambes, je pense qu'en deux heures, nous pouvons faire une balade et revenir au Louvre à temps.

- Non, je n'arrive pas à entendre les pensées, seulement à transmettre les miennes. Quant aux deux dragons, il s'agissait de Drakhaut du Vol Noir, le premier dragon dont j'ai pris la vie, et de Biara, celle qui fut ma compagne pendant 200 ans et à qui mon cœur appartenait.
Il regarda le soleil. Comment faisait-il ? Je l'ignorais, mais ce n'était pas l'important.
-Il doit nous rester environ deux heures... Dit-il. Allons nous dégourdir les jambes, je pense qu'en deux heures, nous pouvons faire une balade et revenir au Louvre à temps. -Je le pense aussi. Et encore une fois, désolée. Dis-je pendant que nous commencions à avancer. Je ne voulais pas réveiller de souvenirs douloureux.

- Arrêtez de vous excuser. Durant la majeur partie de mes 1990 ans de vie, je n'ai fait que tomber de Charybde en Scylla, alors la plupart de mes expériences ont laissé un mauvais souvenir. Vous avez certes touché un point sensible, mais il n'est pas nécessaire de s'y attarder.
Il parti alors, ralentissant son pas pour que Jennifer n'ait pas de mal à le suivre. Il prit des rues qui ne semblaient mener à nul part, tourna à des embranchements et passa par des ruelles sombres. La ville avait énormément grandie depuis la dernière fois qu'il y était venu, il commença alors à chercher des endroits qui lui avaient été familiers. Il finit par lâcher un juron, puis s'enfonça droit dans une ruelle étroite. Il n'y avait ici que des poubelles, et l'entrée de derrière d'un quelconque établissement.
- Il y avait jadis en cet endroit une taverne où ils servaient un excellent vin. Elle n'a visiblement pas survécut au temps. Comme la ville a plus changée que je ne le croyais, je vous laisse le soin de nous conduire en quelques lieux que vous appréciez.

- Arrêtez de vous excuser. Durant la majeur partie de mes 1990 ans de vie, je n'ai fait que tomber de Charybde en Scylla, alors la plupart de mes expériences ont laissé un mauvais souvenir. Vous avez certes touché un point sensible, mais il n'est pas nécessaire de s'y attarder.
Il se mit à avancer et à prendre des rues et des ruelles que je n'avais jamais vraiment remarquée. Nous arrivâmes dans une ruelle encombrée de poubelle et Darmentis lâcha un juron. Il se retourna et me dit;
- Il y avait jadis en cet endroit une taverne où ils servaient un excellent vin. Elle n'a visiblement pas survécut au temps. Comme la ville a plus changée que je ne le croyais, je vous laisse le soin de nous conduire en quelques lieux que vous appréciez.
*Heu.. On pourrions nous bien aller ?*
-Alors c'est dommage qu'elle ait disparue... Bon... D'accord. Vous aimez le vin ? Je connais un endroit ou je le trouve très bon pas très loin d'ici. Qu'en dites vous ?

- Le vin, comme les alcools, n'ont pas d'effet sur mon organisme. C'est une ancienne règles de politesse, il fallait offrir un verre de vin pour célébrer une rencontre, à l'époque du moyen âge dans la noblesse. N'étant ni d'origine noble, ni au moyen âge, je pense le vin ne sera pas une nécessité. N'importe quel boisson devrait convenir. Il suffit de trouver un bar où équivalent. Vous disiez en connaitre un, alors je vous suis.
Il commença à fouiller dans la poche intérieur de sa veste. Il sorti des papiers d'identité vieux de trente ans, quelques pièces qui n'avait plus cours. Il n'était pas habitué à payer, pas plus qu'à se rendre dans un lieu bourré de monde.
- Il faut que j'aille voir quelqu'un. Conclu Darmentis.
Il parti alors d'un pas mesuré, s'assurant que Jennifer puisse suivre. Comme ce chemin était récent, ils ne furent plus obliger d'emprunter de ruelles sombres, juste de se frayer un chemin dans la masse. Il leur fallut peut-être un quart d'heure pour atteindre l'endroit où Darmentis contait se rendre. Une maison de retraite. A l'entrée, il demanda à voir B.Carmin, prétendant être un vieil ami. On lui indiqua qu'il se trouvait dans sa chambre, la 204. Darmentis parti dans la direction de cette chambre. Il intima à Jennifer de ne parler ni de Lycan, ni d'autre créatures mythologiques. Si l'individu qu'ils allaient voir savait que les hommes n'étaient pas les seuls être intelligents, il n'en savait pas trop non plus. Arrivé devant, Darmentis toqua à la porte. La voix d'un vieil interrogea sur l'identité de la personne voulant entrer.
- Un vieil ami. Rétorqua Darmentis en poussant la porte.
L'homme dans la chambre se retourna. Il était assis sur une chaise et avait gribouillé du papier. Son visage était ridé et ses cheveux blancs, il était vêtu d'un chemise à carreaux et d'un vieux pantalons. Son visage se tordit en un sourire lorsqu'il reconnu la personne qui était venu lui rendre visite. Il se levant difficilement et se mi au garde-à-vous.
- Vaillance et Acier Froid! Vous n'avez pas changé.
- Assaillez-vous Carmine, vous n'êtes plus tout jeune. Jennifer St-James, voici Benjamin Carmine.
- Enchantée Mademoiselle.
- Il était dans l'armée française durant la Seconde Guerre mondiale avec ses trois frères. Lui s'était l'infirmier. On s'est rencontré lors du Débarquement en Normandie...
- Je n'avais jamais vu avant lui un homme capable d'encaisser 40 balles et de continuer le combat, capable d'arracher à main nue la porte d'un bunker ou d’envoyer du boche valser dans les airs d'un seul coup de poing.
- Calmez vous Carmine, Ordonna Darmentis, entendant le cœur du vétéran s’affoler dans sa poitrine. En résumé, je lui ai permit de sauver son ainé, Antony Carmine.
- Je savais que vous n’étiez pas humain, mais sa je le savais déjà à l’époque. Vous ne vieillissez pas non plus. Bof, tant mieux pour vous ! Vous savez se qu’on s’est dit dans la bateau de débarquement, Mlle ? Avec les copains, on se demandait pourquoi un Général de brigade, qui est le 5ème grade de l’état major britannique, venait au front avec nous alors que même certains officiers supérieurs n’y allaient pas. Après le débarquement, on savait tous ! Ce gars n’était pas comme nous. Déjà, il allait au contacte, se qui n’était pas dans les habitudes des gens ordinaires. Et…
- Carmine, la demoiselle et moi n’avons pas toute la journée. Je suis heureux de voir que vous aussi, vous n’avez pas changé, mais j’aurai un service à vous demander. Avec l’argent que je vous avez passé à vos frères et vous, vous avez pu construire votre hôtel,restaurent et compagnie ?
- Bien sur, il y avait de quoi en construire dix ! Mais maintenant, c’est les petits enfants qui le tienne.
- Du calme, je voulais juste savoir si vous pouviez me passer de quoi payer un apéritif à la demoiselle.
- Cherchez dans le tiroir là, c’est toutes les piécettes que j’ai sur moi.
- Merci.
Darmentis prit 5 euro et parti rejoindre Jennifer qui était restée éloignée de Benjamin Carmine. Après avoir salué son ancien camarade, Darmentis parti en direction de la porte, murmurant à Jennifer :
- Venez, sinon il va recommencer. Une fois sorti de la maison de retraite, il poursuivit: Nous pouvons maintenant nous diriger vers l'établissement qui n'était pas loin, il y avait vingt minutes. Passez devant.

-Le vin, comme les alcools, n'ont pas d'effet sur mon organisme. C'est une ancienne règles de politesse, il fallait offrir un verre de vin pour célébrer une rencontre, à l'époque du moyen âge dans la noblesse. N'étant ni d'origine noble, ni au moyen âge, je pense le vin ne sera pas une nécessité. N'importe quel boisson devrait convenir. Il suffit de trouver un bar où équivalent. Vous disiez en connaitre un,
alors je vous suis.
Nous commençames à avancer en silence. Darmentis sortis des papiers et me dit;
- Il faut que j'aille voir quelqu'un.
Il se mit alors à avancer, jettant une fois de temps en temps un regard derrière pour être sur que je suivais. Arrivé à la maison de retraite, il demanda des renseignements sur une personne, qui habitait dans la chambre 204. En montant, il me demanda de ne pas parler ni de Lycan, ni de toutes autres créatures en présence de l'homme. Une fois devant la porte, il frappa et j'entendis une homme demander qui était à la porte.
- Un vieil ami. Répondit Darmentis en poussant la porte pour entrer dans le petit appartement.

Le viel homme se retourna et quand ils nous vis, il lança;
- Vaillance et Acier Froid! Vous n'avez pas changé.
- Assaillez-vous Carmine, vous n'êtes plus tout jeune. Jennifer St-James, voici Benjamin Carmine.
- Enchantée Mademoiselle.
- Il était dans l'armée française durant la Seconde Guerre mondiale avec ses trois frères. Lui s'était l'infirmier. On s'est rencontré lors du Débarquement en Normandie...
- Je n'avais jamais vu avant lui un homme capable d'encaisser 40 balles et de continuer le combat, capable d'arracher à main nue la porte d'un bunker ou d’envoyer du boche valser dans les airs d'un seul coup de poing.
- Calmez vous Carmine. En résumé, je lui ai permit de sauver son ainé, Antony Carmine.
- Je savais que vous n’étiez pas humain, mais sa je le savais déjà à l’époque. Vous ne vieillissez pas non plus. Bof, tant mieux pour vous ! Vous savez se qu’on s’est dit dans la bateau de débarquement, Mlle ? Avec les copains, on se demandait pourquoi un Général de brigade, qui est le 5ème grade de l’état major britannique, venait au front avec nous alors que même certains officiers supérieurs n’y allaient pas. Après le débarquement, on savait tous ! Ce gars n’était pas comme nous. Déjà, il allait au contacte, se qui n’était pas dans les habitudes des gens ordinaires. Et…
- Carmine, la demoiselle et moi n’avons pas toute la journée. Je suis heureux de voir que vous aussi, vous n’avez pas changé, mais j’aurai un service à vous demander. Avec l’argent que je vous avez passé à vos frères et vous, vous avez pu construire votre hôtel,restaurent et compagnie ?
- Bien sur, il y avait de quoi en construire dix ! Mais maintenant, c’est les petits enfants qui le tienne.
- Du calme, je voulais juste savoir si vous pouviez me passer de quoi payer un apéritif à la demoiselle.
- Cherchez dans le tiroir là, c’est toutes les piécettes que j’ai sur moi.
- Merci.

Il marcha vers l'armoire et pris 5 euros et il revint vers moi. IL me dit;
- Venez, sinon il va recommencer.
Une fois sorti de la maison de retraite, il poursuivit;
-Nous pouvons maintenant nous diriger vers l'établissement qui n'était pas loin, il y avait vingt minutes. Passez devant.
-Heu... D'accord.
Je marchai à un rythme un peu accélèré jusqu'au petit bar. Nous entrâmes et allâmes nous assoeir à une table un peu à l'écart.
-Vous n'étiez pas oubligés de payer ma boisson vous savez ?

Jennifer les emmena dans un petit bar discret qui, effectivement, n'était pas très loin de là. Ils n'eurent à marcher que cinq minutes. Une fois arrivée, celle-ci les conduit à une table assez isolée des autres. Darmentis nota ce geste. Soit, comme lui, elle n'aimait pas êtes étouffée dans la masse, soit elle avait fais cela sciemment car elle savait que lui m'aimait pas l'être. Toujours est-il qu'il rit lorsqu'elle lui annonça qu'il n'était pas obliger de payer la boisson.
- Mlle, j'ai été élevé dans une époque éloignée, cependant il est toujours de coutume de payer la boisson lorsque l'on invite. Sinon pourquoi inviter?
Il laissa Jennifer méditer ces paroles et reporta son attention sur le serveur qui venait d'arriver. Il prit de l'eau et écouta Jennifer passer commande. Il se remit ensuite à parler.
- Alors, que nous reste il à nous dire? Il nous reste une heure et demi, nous trouverons bien.

- Mlle, j'ai été élevé dans une époque éloignée, cependant il est toujours de coutume de payer la boisson lorsque l'on invite. Sinon pourquoi inviter?
Il porta alors son attention sur le serveur qui venait prendre notre commande. Il lui donna sa commande et je lui donnai la mienne. Ensuite, il dit;
- Alors, que nous reste il à nous dire? Il nous reste une heure et demi, nous trouverons bien.
-Tout d'abord, merci de payer.. Ensuite, qu'est-ce que le Vol Noir à de si spécial poour que vous en restiez éloigné ?
Cela m'intriguais et il fallait que je le demande. C'est seulement après avoir posé la question que je me rendis compte que cela lui rappellerais encore une fois Biara et que c'a lui ferais du mal... Soudain, un malaise senpara de moi..

- La lignée des Dantes, dont je suis, avec ma sœur, les derniers descendant, sont des dragons européens qui étaient jadis dans le Vol Noir, a ses début. Lorsque la catastrophe mit fin au règne des grand reptiles, les dragons s'enterrèrent sous terre pour survivent. Se furent mes ancêtres qui construisirent l'antre du Premier Dragon Noir. après la catastrophes, les dragons firent des guerres fratricides pour prendre le pouvoir. Le Premier Dragon Noir, après avoir eut deux filles, fut trahis par mes ancêtres, qui l'enfermèrent dans son antre. Le Vol Noir a voulut me recruter pour que je le libère. J'ai refusé, ils ont essayé de me tuer, et ils ont tourné celle que j'aimais contre moi. C'est dans la tombe que je l'ai tuée, puis la tombe s'est effondrée. Si le Premier Dragon Noir est juste bloqué sous des milliers de tonnes de roches, Biara quand à elle, est morte d'étouffement.
Il se tu, les images déferlant dans sa tête.
Le serveur offrit une distraction en apportant les commandes, et Darmentis but sa bouteille d'eau d'une traite. Il arrêta Jennifer avant qu'elle ne s'excuse de nouveau. * Se n'est pas la peine.*

- La lignée des Dantes, dont je suis, avec ma sœur, les derniers descendant, sont des dragons européens qui étaient jadis dans le Vol Noir, a ses début. Lorsque la catastrophe mit fin au règne des grand reptiles, les dragons s'enterrèrent sous terre pour survivent. Se furent mes ancêtres qui construisirent l'antre du Premier Dragon Noir. après la catastrophes, les dragons firent des guerres fratricides pour prendre le pouvoir. Le Premier Dragon Noir, après avoir eut deux filles, fut trahis par mes ancêtres, qui l'enfermèrent dans son antre. Le Vol Noir a voulut me recruter pour que je le libère. J'ai refusé, ils ont essayé de me tuer, et ils ont tourné celle que j'aimais contre moi. C'est dans la tombe que je l'ai tuée, puis la tombe s'est effondrée. Si le Premier Dragon Noir est juste bloqué sous des milliers de tonnes de roches, Biara quand à elle, est morte d'étouffement.
J'avais encore réveillée des souvenirs douloureux pour lui, j'allais m'excuser quand le serveur arriva avec nos commandes. Une fois qu'il fut partit, j'allais ouvrir la bouche pour m'excuser quand j'entendis;
* Ce n'est pas la peine. *
Darmentis avais vu juste en croyant que je m'excuserais.
-D'accord... De quoi voulez-vous parler ?

- Il y a maint sujets que nous n'ayons pas encore évoqués, mais je suppose que la plupart n'aboutiraient à rien, ni n'exalteraient notre attention. Je ne sais donc que faire, sinon continuer à chercher. Nous pourrions commencer par quitter cet endroit bondé. J'aurai quelque chose à vous montrer à l'abri des regards.
Il quitta sa table, laissant l'argent aux soins du serveur.
Il parti ensuite à pas mesurés, s'assurant que Jennifer puisse suivre. Il l'emmena dans une ruelle qui ne conduisait à rien, où seul une porte moisie désignait qu'il y avait un passage vers quelques endroit. Ils descendirent un escalier en colimaçon sur une trentaine de mettre, puis vint l'obscurité. Les yeux de Darmentis s'accommodèrent parfaitement à l'absence de lumière, mais il n'aurait pour ceux de Jennifer. Il ne s'arrêta pas cependant pour il demander. Après quelques minutes, ils arrivèrent dans une grande salle. L'on aurait difficilement pu imaginer que cette salle puisse se tenir sous Paris, car elle s'entendait sur presque trente mètres pour un plafond de plus de vingt.
- Si vous n'y voyez pas suffisamment, rassurez vous, vous y venez bientôt très bien. Ne regardez pas les murs.
Le bruit de fermeture éclair que l'on défet ainsi que celui des autres vêtements que l'on ôte se fit entendre, puis un craquement humide. Des déchirures ainsi que d'autre craquement se firent entendre dans la pièce, et résonnaient à en devenir effrayent. Soudain, la lumière parue. Un jet de flammes rouges et oranges sorti de la gueule d'un monstre blanc qui, de son immense taille, encombrait toute la pièce. Le dragon s'adressa mentalement à Jennifer *Vous me voyez sous mon vrai jour*
Et puis, comme il l'avait vivement déconseillé peu avant, Jennifer dut regarder sur un mur. Ils étaient dans un tombeau, et des squelettes humains y étaient allongé, pas tous dans des pauses naturelle.

- Il y a maint sujets que nous n'ayons pas encore évoqués, mais je suppose que la plupart n'aboutiraient à rien, ni n'exalteraient notre attention. Je ne sais donc que faire, sinon continuer à chercher. Nous pourrions commencer par quitter cet endroit bondé. J'aurai quelque chose à vous montrer à l'abri des regards.
Sur ces paroles, il mis de l'argent sur la table pour le serveur, puis il quitta le bar à une vitesse normale pour que je puisse le suivre. Une fois sortis de là, il m'emmena dans une ruelle qui n'aboutit nulle part. Avant que je n'ai eu le temps de lui demander ce que nous faisions ici, il enpreinta un escalier en colimaçon qui descendais sur 30 mètres environ. Une fois en bas, je ne voyais plus rien. Je restai immobile en bas de l'escalier quand Darmentis me fis sursauter:
- Si vous n'y voyez pas suffisamment, rassurez vous, vous y venez bientôt très bien. Ne regardez pas les murs.
Puis, j'entendis un bruit de fermeture éclair, des craquement osseux, des déchirures... Les bruits cessèrent un moment et une lumière jaillit, illuminant la pièce. Je regardai vers d'ou elle provenait et je vis une énorme bête blanche. C'était de là que venait la lumière... Un jet de flamme craché par un Dragon !
*Vous me voyez sous mon vrai jour*
J'étais curieuse donc je me retournai vers les murs, comme Darmentis m'avais proposé de ne pas le faire... Il y avait des squelettes humains partout ! Je poussai un petit cri et repportai mon attention sur le gros Dragon !
-Désolée, j'étais curieuse.

Comme prévu, Jennifer porta son regard sur les murs couvert d'ossements. Elle émit un petit cri de terreur.
*N'avez vous donc jamais vu de morts? N'avez vous jamais tué? La plupart des Lycans tuent lors de leur première transformation, puisqu'ils n'arrivent généralement pas à se contrôler.*
Darmentis fit parvenir à Jennifer des images de son passé.

Il était dans une taverne bondée de monde, se devait être entre durant l'hiver 1245, le froid mordait même au coin du feu. Des soulards de toute la région étaient venu oublier leurs problèmes dans l'alcool. Darmentis était ici car il avait pisté une proie. Assis à une table, seul, un jeune homme tremblait. Son côté dégoulinait encore de la bataille où Darmentis avait empêché qu'il fut dévoré. Deux têtes, il fallait à Darmentis deux têtes de lycans. Maintenant qu'il avait celle d'un lycan héréditaire, il n'allait pas se priver de celle d'un contaminé. Un homme vint interroger Darmentis, mais celui-ci le repoussa d'un geste de bras. Il ne voulait pas que sa proie lui échappe. Dans un rugissement hideux, elle commença sa transformation. Ses haillons disparurent, déchirés par la bête grandissante. Son crâne se déforma tandis que le contaminé se métamorphosait. Si les humains rassemblé ici hurlèrent de terreur et s'enfuirent, Darmentis n'exprima qu'un sourire. Il était à la chasse depuis 45 ans, et il allait tuer deux proie en une journée. Le Lycan fondit sur l'humain le plus proche, le déchiquetant de ses griffes. Certains soulards n'avaient même pas appréhendé l'apparition du monstre tant leur esprit était embrumé, et ils furent irrémédiablement décimés. Darmentis attendit que le Lycan le remarque pour bouger. Lorsque la bête fondit sur lui, il se contenta de la saisir à la gorge d'un geste vif. "Y a t-il encore un être dans ce corps ou l'Instinct efface toute trace d'humanité?" Comme le lycan ne cessait de vouloir le griffer, Darmentis le jeta en arrière, lui faisant briser la cloison de bois. Lâché dans le village, le lycan aurait pu s'enfuir s'il avait eut un minimum de réflexion, mais il revint à la charge. Darmentis dégaina son épée, la lame recouverte d'un poison aussi visqueux que dangereux. Le sang de Gorgone était à même de tuer les créatures les plus résistantes, puisque même l'organisme d'un dragon ne pouvait y résister. Cependant, Darmentis ne savait pas se qu'il était, mais savait se qu'il faisait. Il relevait le défi du seul être à l'avoir jamais battu. Après ce lycan, il ne lui manquerait plus que deux têtes de vampire pour pouvoir affronter Abhorash. Le lycan sauta sur son ennemi, et Darmentis ne fit qu'un pas de côté et se contenta d'abaisser sa lame. La tête décapitée du lycan atterrit à quelques pas de son corps, toute régénération stoppée par le poison qui infectait ses plaies. Darmentis se pencha, ramassa la tête, et, s'emparent d'une torche, mit le feu au cadavre. Il parti ensuite, quittant ce village dénué d'intérêt.

*Comment es-ce que sa s'est passé pour vous?* Interrogea t-il

*N'avez vous donc jamais vu de morts? N'avez vous jamais tué? La plupart des Lycans tuent lors de leur première transformation, puisqu'ils n'arrivent généralement pas à se contrôler.*
J'allais lui répondre que oui, j'avais déjà tuée, mais que je n'avais jamias vue autant de corps auparavant, mais je fus stoppée par les images que Darmentis me transmettais par la pensée.

Il était dans une taverne bondée un soir d'hiver et il y avait un Lycan. Ce dernier se transforma et tua quelques personnes, mais Darmentis le tua avant qu'il ne fasse trop de dégats.

*Comment es-ce que sa s'est passé pour vous?*
-Ma transformation, je ne m'en rappelle plus très bien à vrai dire. Mais je sais que je n'étais pas totalement incontrolable. Annella disait que c'était un peu comme un don chez moi, mais moi je crois que c'étais juste que je savais qui je ne voulais pas être. Un monstre qui tue des innocents par pure incapacité à se controler. On pourrait presque dire que je suis comme les vampires qui ne se nourrissent que de sang animal. Voilà.

Jennifer n'avait pas été totalement incontrôlable, elle se comparait aux vampires végétariens car elle ne voulait pas être un monstre qui tue par instinct. Darmentis sourit intérieurement, car il avait déjà débattu de ce sujet.
* Est-ce mieux de tuer par instinct que par vocation? Vous savez se que vous ne vouliez pas être, cependant, demandez-vous, si vous n'aviez d'autre choix que de tuer, est-ce un tort si vous le faites? Il y a maintes personnes qui tue tout en étant consciente de le faire, tandis qu'une bête tue par instinct. Là vient la question de l'âme. Un lycan qui ne se contrôle pas est-il forcément mauvais parce qu'il est incapable de ne pas tuer? Le fait que le corps tue n'est pas forcément une décision de l'âme, parfois même pas de l'esprit. Demandez-vous si vous êtes à même de juger, puisque vous vous considérez vous-même lycan "civilisé", ceux qui ne le sont pas. Tous n'ont pas la chance de se contrôler. Vous êtes vous demandée si le lycan que j'ai tué me voulait forcément du mal. Je ne pense pas. Je suis d'avis qu'il ne voulait de mal à personne. Maintenant, poussez vous une autre question, j'ai toujours tué sciemment, j'ai toujours décidé d'abaisser ma lame, d'appuyer sur la gâchette ou de refermer ma gueule, pourtant, suis-je mauvais ? J'ai tué pour se que je croyais, mais est-ce une justification ? Réfléchissez-y, car selon la réponse, vous vous trouverez peut-être perdue dans les catacombes de Paris avec un tueur au sang froid.*
Darmentis attendait de voir la réaction de Jennifer. Elle n'avait aucun moyen de sorti de ses catacombes, et la forme du dragon était plus que menaçante. Avait-elle suffisamment confiance en cette connaissance de quelques heures où allait-elle se battre pour sa vie?
Dans les deux cas, Darmentis aurait la réponse à l'une de ses questions: Se maitrisait-elle sous sa véritable apparence où avait-il fait le bon choix en lui accordant sa protection.
Tout allait se jouer en quelques secondes...

* Est-ce mieux de tuer par instinct que par vocation? Vous savez se que vous ne vouliez pas être, cependant, demandez-vous, si vous n'aviez d'autre choix que de tuer, est-ce un tort si vous le faites? Il y a maintes personnes qui tue tout en étant consciente de le faire, tandis qu'une bête tue par instinct. Là vient la question de l'âme. Un lycan qui ne se contrôle pas est-il forcément mauvais parce qu'il est incapable de ne pas tuer? Le fait que le corps tue n'est pas forcément une décision de l'âme, parfois même pas de l'esprit. Demandez-vous si vous êtes à même de juger, puisque vous vous considérez vous-même lycan "civilisé", ceux qui ne le sont pas. Tous n'ont pas la chance de se contrôler. Vous êtes vous demandée si le lycan que j'ai tué me voulait forcément du mal. Je ne pense pas. Je suis d'avis qu'il ne voulait de mal à personne. Maintenant, poussez vous une autre question, j'ai toujours tué sciemment, j'ai toujours décidé d'abaisser ma lame, d'appuyer sur la gâchette ou de refermer ma gueule, pourtant, suis-je mauvais ? J'ai tué pour se que je croyais, mais est-ce une justification ? Réfléchissez-y, car selon la réponse, vous vous trouverez peut-être perdue dans les catacombes de Paris avec un tueur au sang froid.*
Je répondis donc:
-Chacun à son idée là-dessus et je ne suis pas là pour dire que mon point de vue est celui que tout le monde doit adopter. Ceux qui n'ont pas le choix ne sont pas forcément mauvais et quelqu'un qui n'arrive pas à se contrôler non plus. Je me considère ainsi à cause du mode de vie que j'ai choisie et ce n'est pas parce que quelqu'un n'a pas choisi le même mode de vie que moi qu'il n'est pas civilisé ou des trucs du genre. De toute façon ce n'est pas à moi de décider qui est bon et qui ne l'est pas. Mon but n'est pas non plus de juger les gens selon le nombre de personne qu'ils tuent, vous savez. Je sais aussi que ce n'est pas tout les lycan qui sont capables de se contrôler et je sais qu'ils ne sont pas méchants pour autant.
Je marquai une pause.
-Je ne crois pas que vous soyez méchants. Vous avez tué toutes ces personnes car vous aviez des raisons de le faire et je sais que, même si on se connait depuis quelques heures, vous n'êtes pas quelqu'un de mauvais. Je ne suis pas là pour juger comme je vous l'ai dis, mais je crois simplement que chaque personne à une perception différente de cela. Je vous ai simplement donné mon point de vue. Voilà.

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