Retour de mon amour.

Il fesait un de ces temps ou les vampires adoraient aller dehors, la pluie tombait abondamment. Eleazar regardait par la fenêtre, il était seul dans le salon des Cullen et c'était le matin. Il semblait pourtant distrait par quelque chose qu'il ne voyait pas. Le téléviseur était en marche mais Ele ne semblait pas vouloir faire quelque chose. *Oh Carmen ..* pensa celui-ci à l'instant même ou l'on frappa à la porte. Il ouvrit puis se rendit compte qu'il n'avait personne. Soudain, des mains vinrent se mettre sur ses yeux. Il reconnu instinctivement son odeur.

-Carmen, cria Eleazar rempli de joie la serrant fort dans ses bras.

Après se langoureux petit baiser, il répondit;

-Je t'aime aussi, d'un amour plus fort que tout. Il lui sourit puis la serra encore dans ses bras comme si le temps c'était arrêté.

Eleazar écarta enfin Carmen pour prévoir un petit dîner en tête-à-tête.
-Bon on va chasser, j'ai une faim de loup.

Arrivés dans les bois, Ele et sa bien-aimée se partagèrent deux coins. Il monta sur un arbre pas très éloigner d'où était poser Carmen et regarda en éclaireur. Eleazar après le présentiment que quelque chose de désastreux allait arriver. Il sentit tout d'abord un cerf approcher, ce qui lui fit sortir de ses pensées, Ele voulu descendre mais avant qu'il puisse sauter de sa branche, ses pieds s'entremèlèrent et lui trébucha en bas de son point de surveillance. *Merde ! C'est la deuxième fois ce mois-ci. Je suis nul !*, pensa celui-ci d'écouragé. Son visage était couvert de boue ..

Nous étions allés chasser en tête-à-tête dans la forêt.
Eleazar étais montés dans un arbre en éclaireur. J'étais resté en bas. Soudain je sentis un cerf approcher. Ele aussi puisque quand je leva la tête, il tenta de descendre mais s'emmêla et se retrouva le nez dans la boue à mes pieds. J'éclatais d'un rire claironnant. Puis redevint sérieuse en le relevant. Je n'avais jamais vu Eleazar ni aucun autre vampire tomber, nous avions beaucoup de réflexe, c'était impossible que l'un d'entre nous tombe.
-Chéri il y a quelque chose qui cloche. Tu tombes !! Il me regarda, et éclata de rire en même temps vu la tête que je venais de faire, il y avait de quoi. Je mêla mon rire au sien.
-On a fait fuir le cerf !!

-Je crois aussi que quelque chose cloche en moi depuis que tu es parti un vide s'était formé dans mon coeur, mais maintenant, il se comble peu à peu.

Eleazar reparti à courir sans pour autant regarder l'expression de sa douce. Il essayait tant bien que mal de rattraper le cerf mais il n'était pas évident de le repèrer. Carmen le fit avant lui, croyait-il, car arriver là-bas, Ele la vit allonger sur une bête. Elle était si belle et si sale qu'il ne put s'empêcher de l'embrasser. Après ce court baisé, il alla près de la rivière pendant que sa bien-aimée finissait son repas, il n'avait plus très très faim désormais. Son estomac et son coeur s'étaient serrés comme s'ils ne fesaient plus qu'un dans l'espoir que tout redevienne comme avant, avant qu'il ne pense qu'à lui pour la première fois.

-Je crois aussi que quelque chose cloche en moi depuis que tu es parti un vide s'était formé dans mon cœur, mais maintenant, il se comble peu à peu. me dit-il.
Je le vis courir pour tenter de rattraper le cerf. Mais, j'y arrivais avant lui et j'attendis qu'il me rejoignent. Je commençais à manger quand je le vis arriver. Il sourit et m'embrassa. Puis il partit vers la rivière et je me demanda pourquoi. Puis je vis son reflet dans l'eau, on aurait dit qu'il avait fait une énorme erreur. Ces yeux étaient tristes, ses traits durs, son visage d'habitude si doux avait disparu pour laisser place à un visage que je ne connaissais pas et qui me faisait peur. Je m'approchais pour autant et touchait son visage en espérant que ses traits se radoucirent.

Il se dérobât à mes doigts, je voyais une lueur de malheur dans ses yeux. Je n'aimais pas le voir comme cela. Comme s'il lisait dans mes pensées, il s'éloigna. Un poignard traversa mon cœur. Tant de temps était passé et maintenant que je le retrouvai, il s'arrachait à moi! Il me brisai le cœur. Puis il revint et m'embrassa longuement. Il me donnait comme un baiser d'adieu. Ça me faisait peur, je ne le quitterai pour rien au monde. J'avais envie de m'enfuir. Quand il arrêta le baiser, je me laissa glisser au sol mourant de désespoir.
-Qu'y a-t-il? Dis-je pour moi même. Que t'es je fait pour que tu me fuis?
Je dis ça dans un dernier espoir, j'avais vraiment envie de m'enfuir. Envie d'être seule.

-Non, Carmen .. Je ne veux pour rien au monde te fuir et tu n'as rien fais, je t'assure. La vérité c'est que je me déteste ..., Eleazar ne pu finir sa phrase.

Comment aurait-elle pu lui pardonner d'avoir fait ça avec April !!! Il voulait sauter d'une falaise et ne plus jamais revenir. C'était tout plus qu'affreux il allait lui briser le coeur si il ne la prévenait pas. Pourrait-elle lui refaire confiance ? Est-ce que ce serais la passion comme auparavant ? Ele ne voulait pas la quitter, mais si il ne le lui disait pas ce serait impitoyable pour elle de le revoir ainsi et surtout si elle l'apprenait de quelqu'un d'autre. Il s'en voulait à mort ..

Mallaury était assise contre ce tronc , elle était bel et bien perdu . Quoique dans un sens , Mallaury aurait pu trouver pire , habitué depuis sa naissance au sang des animaux .Elle venait de chasser du mieux qu'elle pouvait , n'étant pas très douée à son âge maintenant elle ne savait plus quoi faire d'autre alors elle attendait cependant elle ne savais même quoi attendre . Cela faisait deja plusieurs jours qu'elle était dans cette forêt . Tout ce qu'elle se rapelle , c'est de s'être endormie chez celle qu'elle appelait sa tante et de s'être reveiller ici .
* J'ai peur *
Mallaury repoussa cette petite voix au fond d'elle avant de se mettre à paniquer et se mit à chantonner une comptine apprise par sa tante , puis la fatigue se montra . Elle lutta contre cette fatigue , n'étant pas assez rassurée pour s'endormir . Malheuresement cette fatigue qu'elle avait accumulé depuis plusieurs jours ne pouvait plus attendre , Mallaury céda se recroquevillant sur elle-meme s'enroulant sous la couverture trouvée lors de son exploration de cette foret. Elle continua à chantonner et finit par sombrer dans le monde des rêves .

Eleazar vit la peine que Carmen avait, on dirait qu'elle se sentait seul même quand il est là. Ou peut-être qu'elle était seulement attristée par ce qui venait de se produire.
Il la pris dans mon étreinte.

-Qu'est-ce que tu feras si je te le dis ?

Il entendit du bruit venant de la forêt, mais qu'est-ce que c'était, des ronflement ? Eleazar écarta un peu Carmen la regardant dans les yeux pour la serrer encore contre lui et partir vers le son lointain qui resonnait dans sa tête. A peu près à quelques mètres de où qu'il était avec sa femme, Ele découvrit un petite fille les yeux closes.

-Bon j'espère que tu es contente tu l'as réveillée, dit Eleazar d'un ton ricanneur. Ça n'avait pourtant pas l'effet voulu sur Carmen, elle le regardait d'un sévère et lui en prit un sérieux.

C'était la plus belle chose qu'il n'avait jamais vue, mais il ne pouvait rien faire sur son cas.

-Qui sont tes parents, petite fille ? demanda-t-il en se rapprochant.

Elle ne répondit pas tout de suite, le dévisageant et dévisageant Carmen, il ne compris pas pourquoi elle n'était pas effrayer. Ele se releva d'un bon pour laisser sa femme lui parler un peu et lui rester à l'écart, penseur à ce qu'il avait fait.

Mallaury regarda le jeune homme s'éclipsait , elle reporta son attention sur la femme . Elle etait plutot grande et fine , avec d'assez long cheveux , couleurs chatains .
Mallaury cligna des yeux discretement. Elle posa sa tete contre l'epaule de cette femme , sans crainte. Elle remarqua la tension entre ces deux personnes , elle ne comprit pas ... et ne chercha pas non plus à comprendre . Elle ferma ses yeux et laissa retomber une des meches sur son visage legerement erraflée , mise à part une entaille plutôt belle le long de sa joue droite . Elle ne sombra pas dans le sommeil de suite , entendant quelques brides de conversation. Néanmoins , elle finit par s'endormir dans les bras de cette jeune femme.

L'enfant c'était endormie dans mes bras telle un ange tomber du ciel. Je n'avais même pas pu lui demander son nom...
Je regardais mon tendre époux marcher sur la plage. Nous venions de se retrouver et, je lui passais un savon pour des actes dont je n'étais même pas sûr qu'ils étaient fondés. Il était, je trouve, normal qu'après deux mois sans nous avoir vue, il est craqué... Mais tout de même, il pourrait me le dire!
Il se retourna et me sourit.
Il se rapprocha également de moi et, je supposais qu'il voulais me parler.
-Alors, où va-t-on l'emmener maintenant que nous l'avons découvert ?
-Eh bien, je ne sais pas. Nous n'avons pas de maison, et durant ton absence, je vivais chez les Cullens. Mais, je ne sais pas s'il apprécieront!
Je le regardais et m'efforçais de ne pas parler trop sèchement. Je ne voulais absolument pas me disputer avec lui. Cela ne s'était jamais produit, alors pourquoi aujourd'hui?
Je fis un pas vers lui. Nous étions tout proches. Je pouvais sentir son haleine fraîche sur ma peau, son regard dorée sur mon corps. Si je n'aurais pas eu la petite dans les bras, je pense que je n'aurais résister à l'envie de le toucher. Mais je ne le fis pas. Je me penchais et, d'un geste, embrassais passionnément ses lèvres douces. Je mis fin à ce moment magique et le regarda. Il était étonné, très surpris!
Je me rapprocha plus de lui encore et lui murmura à l'oreille :
-Je t'aime. Je fis une pose et repris. Je n'ai pas envie de me disputer avec toi, pas aujourd'hui, jamais. Je te pardonne tous tes actes non-voulus. Tout ce temps loin de moi à du être difficile et je te comprends. Mais, nous rattraperont tout ce temps mon fougue vampire.