Rosalie Hale Cullen

Caractère:Il parait que j'ai une personnalité très forte... Il parait, parce que moi je ne trouve pas, que je suis difficile à vivre. J'avoue que je suis légèrement narcissique voir même à mes heures perdues, un peu égoïste. Tant pis, on ne se refait pas ! J'ai tendance à être distante avec les gens que je connais peu, on dit que je vois toujours le mal partout, mais je pense qu'il vaut mieux être méfiante par moment que de tout laisser passer. Je suis d'une franchise hors du commun qui peut battre des records par moment et même si ça ne plait pas à tout le monde est bien tant pis ! La personne se prendra quand même ses quatre vérités dans la figure. Vous me trouvez dure ? J'avoue que je le suis un peu, mais il y a toujours une part de bonté dans chaque être qu'ils soient vivants ou même mort (scientifiquement parlé). Après tout, je suis un être qui vie aussi. Je sais que j'ai beaucoup de défaut, mais même si je n'aime pas les montrer j'ai quand même quelques qualités... Je suis extrêmement loyale envers des amis et la famille, ils savent qu'ils peuvent toujours compter sur moi... Je suis courageuse, je n'ai jamais eu froid aux yeux... La seule peur que je connaisse est celle de perdre mon aimé ou un membre de ma famille. Je suis très fidèle, c'est peut-être pour ça que je ne tolère pas du tout l'infidélité. J'ai aussi un sens de l'humour plus que largement développé surtout pour tolérer les blagues sur les blondes à longueur de journée, surtout de la part de ce clébard de Jacob... Quand je suis en colère, j'ai la mauvaise manie de casser ce que j'ai sous la main. Mais quand je suis sous mon bon jour, j'ai tendance à être joueuse et calme...

Physique:Là nous touchons un sujet que je jugerai vraiment primordiale ! Pourquoi donc me dirai vous ? Certes ma beauté m'a apporté du malheur et pas qu'un peu, mais après tout j'en suis quand même fière... Commençont part le commencement. Mes longs cheveux sont d'un blond vénitien, encadrant un visage aux traits finement ciselés et tombant en cascade à la mi-hauteur de mon dos. Ma peau est d'un blanc intense et satiné, que voulez-vous. C'est la caractéristique première des vampires. Un petit nez disons droit, ou grec si l'on emploie les bons adjectifs, qui surplombe des lèvres pulpeuses magnifiquement dessiné. Je peux terminer par mes yeux tous fins, un peu amandés aux pupilles couleur d'ambre quand la soif n'est pas là... J'étais tout simplement belle quand j'étais humaine, mais ma transformation a fait de moi une des créatures des plus resplendissantes, ma beauté est supérieure à la plupart des vampires par sa perfection presque éhonté. Ma voix cristalline et ma démarche sensuelle largement accentué par mon bon vouloir font tourner de nombreuses têtes sur mon passage, m'attirant autant les faveurs des hommes que l'amertume de bons nombres de femmes...

« Humaine, je vivais dans un monde différent du tien...»
(cf. Hésitation)


Mes parents appartenaient à la classe moyenne de la société. Mon père travaillait dans une banque. Quant à ma mère, comme une bonne partie des jeunes femme à cette époque, elle restait à la maison pour s'occuper des tâches disons réservé à la gente féminine... Je fus leur premier enfant. Une petite fille certes, mais le fait que je sois toute mignonne au fil des années rendaient l'affaire plus calme... Peu après ma naissance, ce fut celle de mes deux jeunes frères. D'un an et deux ans mes cadets. Pendant que mon père travaillait à son poste, ma mère prenait soin de nous, bien que nous étions jeunes et que nous nécessitions une attention constante Madame Hale ne faillisait jamais à ses "missions" de femme ! Et oui, en cette époque là, c'était ainsi que la femme s'occupait ! A faire le ménage, à faire à manger et à s'occuper des fratries nées pour assurer la descendance...



« Année 1933, j'avais 18 ans, je menais une existence parfaite. »
(cf. Hésitation)


La crise économique de ce temps nous passait largement au-dessus de la tête Dans le royaume qu'étais ma maison, j'étais la reine. La fierté. La préférée. Et j'étais fière d'être ce que j'étais. J'aimais que les hommes posent leurs regards sur moi plutôt que que sur les autres femmes des alentours. J'ai bien vite compris que grâce à ce don de Dieu, ma vie serait tout aussi belle que moi. Je rêvais déjà déjà d'une maison à moi, d'un homme qui m'aimerait et d'enfants que je pourrais choyer... Ce qui me donna l'envie d'enfanter, ce fut ma meilleure amie Vera. A 17 ans déjà mariée à un charpentier tendre avec elle et à 18 ans déjà maman d'un adorable petit bout de choux. J'aimais passer du temps chez elle ne serait-ce que pour voir le bonheur qui se lisait dans les yeux de cette famille. Un bonheur que j'enviais et jalousais silencieusement. J'avais l'espoir de trouver le mari idéal qui serait aussi attentionnée que celui de Vea et d'avoir des enfants aussi attendrissant que son petit Henry... Un espoir que j'entretenais chaque jours, car, chaque jour je retournais chez elle pour être le témoin de leur bonheur...



« Le prince charmant surgi pour me transformer en princesses. »
(cf. Hésitation)


Mon père travaillait sou les ordres de Royce King premier du nom... Tous eux se débrouillèrent pour que je rencontre au moins une fois Royce King deuxième du nom. La première fois que je le croisa, ce fut sur une excuse montée de toute pièce par mes parents. Ma mère avait malencontreusement oublie de donner à mon père son déjeuner pour midi. Et la voilà qu'elle insiste pour que je m'habille de toute beauté, que je me coiffe à merveille... Elle voulait que je sois plus parfaite que ce que je n'étais déjà... J'avoue que je n'avais même pas prêté attention aux regards bleutés de Royce Junior. J'avais l'habitude d'être regardé par tous les hommes que je croisais. Il commença à m'envoyer des roses, si bien qu'à force je ne savais plus où les mettre tellement ma chambre en était pleine. On trouvait des roses jusque dans le salon... Après deux mois à me faire la court dans les règles de l'art, nous nous sommes fiancés...



« J'avais repoussé cette pensée, Royce était mon prince. Un jour je serai sa reine »
(cf. Hésitation)


Nous étions à une semaine du mariage. La bruine du mois d'avril taper doucement sur les pavés de la rue. Je venais de quitter Vera. J'étais chamboulée. Inconcsiemment je me mis à comparer la vie de Vera avec son homme, sa famille, avec la mienne... Il était déjà bien tard et pourtant j'avais refusé d'appeler mon père pour me faire escorter, le chemin jusqu'à la maison était relativement court je pensais que rien ne pourrait m'arriver là ! Je n'étais pas loin de chez moi quand j'entendis des voix qui parlaient fortement. Ils riaient, ils parlaient à forte voix, ils étaient ivres. L'un d'eux était mon futur époux. La suite n'est guère plaisante... Ils m'ont brutalisé, ils ont abusé de moi. Lorsqu'ils eurent finit leur petit jeu qu'ils étaient les seules à trouver amusant, ils partirent, me laissant seule agonisante dans la rue...



« Je ne désire pas Edward, je l'aime comme un frère, bien qu'il m'ait irritée, au début. »
(cf. Hésitation)


Ce fut Carlisle qui me découvrit là, agonisante, attendant que la mort s'abbate sur moi. Il avait été attiré par l'odeur du sang. Je ne pouvais bouger, mais je savais qu'il essayait de me sauver. J'aurai voulu lui hurler de me laisser là comme ça, je n'attendais qu'une chose à cette époque, c'était que la grande faucheuse fasse son boulot... Mais Monsieur Cullen me prit dans ses bras et s'enfuit avec une vitesse tel que j'avais l'impression d'être un petit oiseau qui voletait. Lorsque je commençais à redescendre sur terre, j'étais allongée dans une pièce chauffée au calme. Carlilse m'a mordu lançant ainsi le processus de transformation. Le passage du statu de simple mortel à celui d'immortel. Un moment plus que douloureux où l'on ne souhaite qu'une chose, qu'on en finisse avec vous ! Puis le feu interne à cesser de me bruler l'organisme. Je me sentais de nouveau forte. J'étais devenue un vampire. On ne m'avait pas laissé le choix, la vie (scientifiquement parlé) m'avait quitté, elle était partie en fumer tout comme mes rêves de pouvoir materné mes propres enfants... Je fus destinée à Edward, mais entre ce dernier et moi c'était plus de l'amour fraternel qu'un vrai sentiment amoureux profond... Il ne me désirait pas comme les trois quarts des hommes sur cette planète. Ce qui me consola ce fut de voir mon reflet dans un miroir... Hormis ses prunelles rouges, je n'avais pas changé. J'étais toujours aussi belle si ce n'est un peu plus... Mais au début de voir que de me regarder ne faisait ni chad ni froid à Edward, cela m'a frustrée...



« Pour moi, le seul Happy End possible se résumait à une rangée de tombe... »
(cf. Hésitation)


Par peur de me retrouver toute seule, j'ai décidé de rester avec les Cullen. Avec le temps je finis par maudir peu à peu ma beauté pour ce qui m'étais arrivée, j'aurai voulu être disons un peu plus laide, plus banale, un peu à l'image de Vera... Mais les choses étaient ce quels étaient, maintenant tout avait changé pour moi, mais je n'avais pas l'intention de mettre une croix sur mon passé et ce qui s'était produit la nuit, une semaine avant mon mariage... La quatre "amis" qui avaient accompagné Royce payèrent de leur vie leur rigolade... Je voulais qu'ils payent tous pour ce qu'il m'avait fait, mais je voulais garder mon cher Royce King deuxième du nom pour la fin. Je voulais sentir la peur en lui au moment où je l'achèverai ! C'était une chose réussite, car quand je l'ai retrouvé, il s'était enfermés dans une pièce sans fenêtre dont la seule issue était une porte où deux gros bras montaient la garde... Très puérilement, j'avais mis en place tout un scénario. Je portais ma robe de mariée. Croyez-moi, il avait bien regretté ce qu'il avait osé me faire. Je m'étais vengée...