Je me déplacais, de ma démarche habituellement gracieuse, le long des rues de Voltéra. Une ville tourbillion. J'adorais cette idée ! C'était vraiment génial sa !
Je m'engageais dans une rue, et vis une silouette. Je fermais les yeux. Et, consciente que cette silhouette ne pouvais apartenir qu'à Aro Volturi, a cinq metre de lui, tel une princesse, tel mon éducation, je fis une révérance. Près du sol, tête béssé, j'attendais qu'il m'adresse la parole, qu'il passe sa route, ou qu'il m'autorise a me relever. Il était seul. Et je ne sentais que sa présence dans les parages.
Mes yeux noir fixaient le sol. Mes courbes d'aparences humaine ne bougeaient pas, alors que celle des humains si, au fil de leur respiration.
Dans peu de temps, j'allais constater qu'éffectivement, les Volturi avaient les yeux rouges..